arceline Desbordes-Valmore, née à Douai en 1786, est décédée à Paris en 1859. Sa correspondance couvre la période allant de 1811 à 1857. Même s'il n'existe pas à ce jour de correspondance générale de Marceline Desbordes-Valmore, un grand nombre de lettres ont tout de même été éditées, des années 1870 à aujourd'hui.

Elles sont ici présentées telles que l'on peut les voir dans les livres de MM. Boyer d'Agen, Pougin, notamment et surtout, ou encore Benjamin Rivière (voir Bibliographie.) Ces lettres suivent l'ordre chronologique et sont accompagnées, dans certains cas, de la représentation de leur original.

Cela représente ici, dans ce site internet, à peu près un millier de lettres. Les destinataires ayant reçu le plus grand nombre de lettres étant : ses proches (Prosper, Hippolyte et Ondine Valmore), ainsi que ses amis (Pauline Duchambge, Caroline Branchu, Hippolyte-Romain Duthillœul, Jean-Baptiste Gergerès, et Frédéric Lepeytre).

1830 ↑

Repères biographiques ↓

1831 ↑

Repères biographiques ↓

- 12 janvier 1831 : de MDV à Frédéric Lepeytre
- 13 janvier 1831 : de MDV à Caroline Branchu
- 21 janvier 1831 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 18 février 1831 : de MDV à Alphonse de Lamartine
- 6 mars 1831 : de MDV à Frédéric Lepeytre
- 23 mars 1831 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 28 avril 1831 : de MDV à Juliette Récamier
- 5 mai 1831 : de MDV à M^lle Mars
- 9 mai 1831 : de MDV à Frédéric Lepeytre
- 3 juin 1831 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 7 juin 1831 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 22 juin 1831 : de MDV à M^lle Mars
- 30 juillet 1831 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 16 août 1831 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 30 août 1831 : de MDV à Caroline Branchu
- 30 août 1831 : de MDV à M. Pierquin
- 7 septembre 1831 : de MDV à M. Pierquin
- 14 septembre 1831 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 6 octobre 1831 : de MDV à Frédéric Lepeytre
- 18 octobre 1831 : de MDV à M. Pierquin
- 11 novembre 1831 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 29 novembre 1831 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès[↑ retour à la chronologie]

1832 ↑

Repères biographiques ↓

1833 ↑

Repères biographiques ↓

- Avril : Les Valmore quittent précipitamment Rouen pour Paris. Une cabale est organisée contre MDV par ses anciennes connaissances rouennaises : d'abord des bruits, des rumeurs viennent aux oreilles de Valmore qui, ayant l'air de les mépriser, se fait copieusement siffler lors d'une représentation. Ce n'est plus tenable, ils s'en vont. Valmore trouvera à se placer au Théâtre de la Porte Saint-Martin, à Paris, où il ne restera que quelques mois seulement.

- Mai : Sont publiés Les Pleurs, chez Gervais Charpentier, avec une préface d'Alexandre Dumas.
C'est à l'occasion de cette parution que le critique littéraire Sainte-Beuve va commencer à s'intéresser et à estimer Marceline Desbordes-Valmore. Amable Tastu lui avait parlé d'elle depuis déjà quelques années, mais c'est à partir des Pleurs que Sainte-Beuve va écrire sur Marceline Valmore (un article de lui paraît sur le recueil dans La Revue des Deux Mondes du 1er août 1833) et qu'il va souhaiter la rencontrer. Sauf erreur de ma part, nous ne savons pas exactement quand il se rencontrèrent, mais cette rencontre fut en tout cas le début « d'une des plus belles affections du siècle, qui sans cesse ira croissant et ne se démentira jamais. », selon les termes de Francis Ambrière.

- Printemps : A la demande de M^me Tastu, et bousculant sa réserve, huit ans après l'attribution à MDV d'une pension littéraire, obtenue par l'intermédiaire de Juliette Récamier, Marceline Valmore se rend enfin à l'Abbaye-aux-Bois, d'où elle sort ravie et enchantée. Elle y retournera par la suite, notamment en compagnie d'Ondine ou de Charles-Augustin Sainte-Beuve, et y rencontrera évidemment les habitués de ce salon à ce moment-là : Jean-Jacques Ampère, Pierre-Simon Ballanche ou encore Châteaubriant.

- Juin : Parution de Une raillerie de l'amour, chez Gervais Charpentier.

- Août : Décès d'André Lanchantin, père de Prosper Valmore, à l'âge d'environ 78 ans.

- Septembre : Marceline Desbordes-Valmore fait la connaissance d'H de Balzac, selon toute vraisemblance par le biais de son cousin, le sculpteur Bra.

- Novembre : Parution de L'atelier d'un peintre : scènes de la vie privée, roman, chez Charpentier et Dumont.

1834 ↑

Repères biographiques ↓

Lettres 1830-1834

1830 ↑

1831 ↑

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1834 ↑