Lettres 1820-1829

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arceline Desbordes-Valmore, née à Douai en 1786, est décédée à Paris en 1859. Sa correspondance couvre la période allant de 1811 à 1857. Même s'il n'existe pas à ce jour de correspondance générale de Marceline Desbordes-Valmore, un grand nombre de lettres ont tout de même été éditées, des années 1870 à aujourd'hui.

Elles sont ici présentées telles que l'on peut les voir dans les livres de MM. Boyer d'Agen, Pougin, notamment et surtout, ou encore Benjamin Rivière (voir Bibliographie.) Ces lettres suivent l'ordre chronologique et sont accompagnées, dans certains cas, de la représentation de leur original.

Cela représente ici, dans ce site internet, à peu près un millier de lettres. Les destinataires ayant reçu le plus grand nombre de lettres étant : ses proches (Prosper, Hippolyte et Ondine Valmore), ainsi que ses amis (Pauline Duchambge, Caroline Branchu, Hippolyte-Romain Duthillœul, Jean-Baptiste Gergerès, et Frédéric Lepeytre).

Chronologie
1809
1810
1811
1812
1813
1816
1817
1818
1820
1821
1822
1823
1824
1825
1826
1827
1828
1829
1830
1831
1832
1833
1834
1835
1836
1837
1838
1839
1840
1841
1842
1843
1844
1845
1846
1847
1848
1849
1850
1851
1852
1853
1854
1855
1856
1857

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1820 ↑

Repères biographiques ↓

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- 2 janvier : Naissance d'Hippolyte Valmore à Paris.

- Printemps : C'est aussi dans l'atelier de Constant Desbordes que Marceline Desbordes-Valmore rencontrera Pauline DuchambgePauline Duchambge (1778, à La Martinique (?), 1858, à Paris), musicienne, qui, admirative du talent de MDV, l'avait cherchée longtemps dans tout Paris. Elles seront amies jusqu'à la fin de leurs jours.

- Fin d'année : MDV fait paraître Les Veillées des Antilles, nouvelles, chez François Louis.

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- 22 mars 1820 : de MDV à Prosper Valmore
- 23 mars 1820 : de MDV à Prosper Valmore
- 9 avril 1820 : de MDV à François Louis (Autographe)
- 3 juin 1820 : de MDV à Prosper Valmore[↑ retour à la chronologie]

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1821 ↑

Repères biographiques ↓

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- Avril : Les Valmore arrivent à Lyon. Premier séjour dans cette ville, que MDV n'aime pas beaucoup, ils y resteront deux ans. Ils sont engagés tous les deux au Grand Théâtre.

- Cet « exil » lyonnais correspond également à la rupture entre Marceline Desbordes-Valmore et Hyacinthe de Latouche. Contrairement à elle, lui cessera très vite d'être amoureux de la femme, tout en continuant à être amoureux de l'écrivaine, se tenant dans une « une affection vigilante », pour reprendre ses termes à lui. C'est ainsi qu'elle ne cessera pas de penser à lui, en des termes élogieux, amoureux. C'est ainsi que lui va reparaître de temps à autre dans sa vie à elle, pour apporter son aide souvent, instillant cependant en elle un malentendu qui ne sera vraiment levé qu'en 1839 où il y aura rupture totale du lien.

- 1^er novembre : Naissance de Hyacinthe Valmore, à Lyon, que l'on surnommera « Ondine ».

- 28 décembre : Décès d'Anne-Justine Poupard, mère de Prosper Valmore.

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- 19 avril 1821 : de MDV à Prosper Valmore

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1822 ↑

Repères biographiques ↓

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- Mars : Parution de Poésies de Madame Desbordes-Valmore, chez Théophile Grandin.

- Ces premières années lyonnaises, même un peu vécues comme un exil, correspondent pourtant pour MDV à des rencontres d'amitiés : amitié retrouvée comme avec Antoine-Gabriel Jars ou amitié nouvelle comme avec le docteur Vinay et sa femme, ou encore avec Sophie Gay de passage à Lyon, rencontrée par l'intermédiaire de Pauline Duchambge avec laquelle d'ailleurs elle correspond beaucoup à cette époque (sans que, sauf erreur, nous ayons conservé beaucoup de lettres entre elles, de ces années-là en tout cas.)

- C'est aussi l'année où elle se lie avec Hippolyte-Romain Duthilloeul, son compatriote de Douai, bibliothécaire, puis juge de paix, qui sera l'un de ses correspondants les plus réguliers (le verra-t-elle jamais ?), surtout à partir de 1826 où il en vient à être presque le tuteur de Félix Desbordes, en tout cas un relais pour Marceline qui pourra ainsi savoir ce que devient son frère. Depuis sa période d'armée, puis ses cinq ans d'emprisonnement, ce frère est comme vidé, d'ailleurs sans ressources, livré à lui-même et dans l'errance, certainement épris de boisson, recueilli ici où là, sans plus rien pouvoir faire ; à bien des égards il ressemble à son père et à son grand-père Desbordes incapables de se fixer, sans ténacité, absents aux autres, fuyants. Marceline Valmore cherchera à l'aider jusqu'au bout, en lui envoyant régulièrement quelque argent, en cherchant un travail pour lui, ou un asile, une protection.

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- 29 juillet 1822 : de MDV à Antoine-Vincent Arnault
- [12] août 1822 : de MDV à M^me d'Henneville (Autographe)
- 6 novembre 1822 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 9 novembre 1822 : de MDV à Constant Desbordes
- 19 novembre 1822 : de MDV à Sophie Gay

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1823 ↑

Repères biographiques ↓

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- Les Valmore quittent Lyon pour Bordeaux, où ils resteront quatre ans. Marceline Valmore quitte en même temps le théâtre, une carrière qui, entrecoupée d'arrêts, aura duré à peu près vingt ans.

- En matière de sociabilité, elle fait à Bordeaux la connaissance, sur la recommandation de Sophie Gay, du couple Nairac, aux réunions duquel elle se fera d'autres amis comme par exemple Jean-Baptiste Gergerès, catholique et royaliste plein de bonté (une correspondance qui durera près de vingt-cinq ans), ou encore Edmond Géraud, littérateur, journaliste, farouche anti-bonapartiste, ou Jacques Arago, journaliste, littérateur, voyageur. Elle y fera également la connaissance d'Alfred de Vigny, de passage dans la ville (Vigny qui saluera le talent de Marceline Valmore), ou encore, dit-on, du peintre Francisco Goya. Ce temps de Bordeaux contribuera à apporter à MDV, tant que les Nairac demeurèrent à Bordeaux du moins, une paix intérieure et comme une joie de vivre qu'elle n'avait plus connues depuis longtemps.

- Fin d'année : Parution du recueil de poèmes Élégies et Poésies nouvelles, chez Pierre-François Ladvocat.

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- 30 juin 1823 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 18 août 1823 : de MDV à Antoine-Gabriel Jars
- [Peu avant 22 septembre] 1823 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 26 septembre 1823 : de MDV à Emile Deschamps
- 27 ou 28 septembre 1823 : de MDV à Constant Desbordes (Autographe)
- [Sans date] 1823 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès

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1824 ↑

Repères biographiques ↓

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- C'est sur la recommandation de son oncle, Constant Desbordes, que Marceline Valmore joint, vraisemblablement par courrier, son cousin, le sculpteur alors en vogue, Théophile Bra, et que va se nouer un lien d'intérêt comme d'affection réciproques. Sauf erreur Marceline Valmore n'aura pas beaucoup l'occasion de le voir de visu avant 1833.

- Décembre : Parution de Elégies et Poésies Nouvelles, chez Ladvocat.

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- 13 mars 1824 : de MDV à Constant Desbordes
- 2 juin 1824 : de MDV à Constant Desbordes (Autographe)
- 20 août 1824 : de MDV à Théophile Bra
- 12 novembre 1824 : de MDV à Constant Desbordes (Autographe)
- 28 novembre 1824 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès[↑ retour à la chronologie]

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1825 ↑

Repères biographiques ↓

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- Hyacinthe de Latouche obtient, notamment par l'intermédiaire de M^me Récamier, une pension littéraire pour MDV. C'est à cette occasion qu'elle entre en relation avec Juliette Récamier à qui elle ne rendra cependant visite que plusieurs années après, en 1833.

- C'est à ce moment-là que Sophie Gay choisit de s'éloigner de Marceline Valmore (elles ne seront plus en contact), vraisemblablement par jalousie : jalousie que sa fille, Delphine, n'ait pas obtenu de pension avant MDV, jalousie aussi de s'apercevoir que Latouche, auquel Sophie Gay s'intéressait encore beaucoup, malgré le mal qu'elle en disait, prend soin de Marceline Desbordes-Valmore.

- 29 novembre : Naissance d'Inès Valmore à Bordeaux.

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- 22 janvier 1825 : de MDV à François Gérard
- 7 avril 1825 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- Avril 1825 : de MDV à Constant Desbordes (Autographe).
- 12 mai 1825 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 12 août 1825 : de MDV à M. Forbin[-Janson]
- 10 septembre 1825 : de MDV à Théophile Bra (Autographe)
- 26 septembre 1825 : de MDV à Constant Desbordes (Autographe)
- 28 septembre 1825 : de MDV à M^lle Mars
- 23 décembre 1825 : de MDV à Juliette Récamier
- [Sans date] 1825 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès[↑ retour à la chronologie]

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1826 ↑

- 29 janvier 1826 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 14 février 1826 : de MDV à Pauline Géraud
- 28 février 1826 : de MDV à Constant Desbordes
- 1^er mars 1826 : de MDV à Juliette Récamier
- 8 mars 1826 : de MDV à M. Forbin
- 22 mars 1826 : de MDV à Delphine Gay
- 24 mai 1826 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 8 juin 1826 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 21 juin 1826 : de MDV à Constant Desbordes
- 2 août 1826 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 31 août 1826 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 16 septembre 1826 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 27 septembre 1826 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 20 novembre 1826 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 16 décembre 1826 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 30 décembre 1826 : de MDV à Juliette Récamier
- [Fin 1826, début 1827] : de MDV à Pauline Géraud[↑ retour à la chronologie]

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1827 ↑

Repères biographiques ↓

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- Avril : Les Valmore quittent Bordeaux pour Lyon, où ils resteront quatre ans.

- Entre son séjour à Bordeaux et son séjour à Lyon, MDV s'organise, seule, un voyage à Paris de quelques jours et le commerce du monde la replacent dans la réalité d'un Hyacinthe de Latouche assidu auprès d'une autre, elle qui pensait que leur amour, peut-être, sans doute, pouvait renaître. C'est aussi à l'occasion de ce court séjour qu'elle fera la connaissance de la cantatrice Caroline Branchu qu'elle avait déjà entendue chanter, charmée par sa voix, à Rouen en 1803 ; elle occupera une grande place dans la vie de MDV, la correspondance entre deux âmes blessées d'amour en quelque sorte.

- Hiver : Les Valmore font la connaissance de Léon Boitel ; pour l'heure, il est fils de pharmacien destiné à reprendre l'officine familiale, mais rêvant de journalisme, Léon Boitel avec qui ils correspondront très longtemps, et qui, en cette année 1827, leur fait faire la connaissance de son cercle d'amis, comme Paul-Emile Prud'hon, les journalistes Kaufmann ou Lamerlière, etc., tous réunis en tout cas, et les Valmore avec eux, dans une même aversion de la Restauration. C'est un ami que Marceline et Prosper Valmore ont en commun, ce qui est assez rare, et ce qui est l'occasion de noter que MDV a volontiers sa vie indépendante, libre, par rapport à son mari, qui connait certainement peu de ses amis, de ses connaissances, de ses correspondant-e-s : une situation de couple probablement peu courante à l'époque.

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- 11 février 1827 : de MDV à [M. Auber ?] (Autographe)
- 26 février 1827 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 25 mars 1827 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 3 avril 1827 : de MDV à Prosper Valmore
- 3 avril 1827 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 5 avril 1827 : de MDV à Prosper Valmore
- 14 avril 1827 : de MDV à Prosper Valmore
- 12 mai 1827 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 29 mai 1827 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 15 juin 1827 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 24 juin 1827 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 30 juillet 1827 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 21 août 1827 : de MDV à Elisa Mercœur (Autographe)
- 24 août 1827 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 30 août 1827 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 16 octobre 1827 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 30 octobre 1827 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 5 décembre 1827 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 5 décembre 1827 : de MDV à Pauline Géraud
- 27 décembre 1827 : de MDV à Juliette Récamier[↑ retour à la chronologie]

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1828 ↑

Repères biographiques ↓

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- 27 avril : Décès de Constant Desbordes, peintre, oncle dont Marceline Valmore est proche.

- Décembre : Parution des Œeuvres de Madame Desbordes-Valmore, chez Auguste Boulland, en trois tomes, ainsi que des contes A mes jeunes amis, toujours chez Boulland.

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- 6 janvier 1828 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 27 janvier 1828 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 6 février 1828 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 10 février 1828 : de MDV à Caroline Branchu (Autographe)
- 31 mars 1828 : de MDV à Constant Desbordes (Autographe)
- 10 avril 1828 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- [30] avril 1828 : de MDV à Constant Desbordes
- 2 mai 1828 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 13 mai 1828 : de MDV à Juliette Récamier
- 18 mai 18[2]8 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 25 juin 1828 : de MDV à Juliette Récamier
- 26 juillet 1828 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 3 août 1828 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 19 septembre 1828 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 20 septembre 1828 : de MDV à M. Silvy (Autographe)
- 22 septembre 1828 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 1^er novembre 1828 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 13 décembre 1828 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 14 décembre 1828 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 25 décembre 1828 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 29 décembre 1828 : de MDV à Juliette Récamier[↑ retour à la chronologie]

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1829 ↑

Repères biographiques ↓

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- Depuis l'édition Ladvocat de 1824-1825, Elégies et Poésies nouvelles, Marceline Desbordes-Valmore est populaire dans tous les milieux et c'est ainsi que les poètes en herbe ou les simples admirateurs lui écrivent pour lui présenter leurs travaux, c'est ainsi qu'elle est recherchée, par exemple par Frédéric Lepeytre qui deviendra une relation qui durera, par écrit quasi exclusivement, jusqu'à son décès à elle. C'est d'ailleurs à partir de ce séjour à Lyon de la fin des années 1820 que va commencer, comme le dit Francis Ambrière, « cet extraordinaire commerce épistolaire dont elle ne se lassera jamais, fleuve immense qui s'enrichira d'affluents nombreux tout au long de ses trente dernières années à mesure qu'elle fera de nouvelles connaissances et qu'elle s'y attachera. »

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- 18 janvier 1829 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 31 janvier 1829 : de MDV à Auguste Boulland (Autographe)
- 11 février 1829 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 2 mars 1829 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 14 mars 1829 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 30 mars 1829 : de MDV à Frédéric Lepeytre
- 26 avril 1829 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 16 mai 1829 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- 1^er juin 1829 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 2 juin 1829 : de MDV à M^lle Mars
- 20 juillet 1829 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 22 juillet 1829 : de MDV à Léon Boitel
- 10 août 1829 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 12 septembre 1829 : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès
- [Septembre 1829] : de MDV à Mme Firmin
- 30 octobre 1829 : de MDV à M^lle Mars
- 30 octobre 1829 : de MDV à Léon Boitel
- 13 novembre 1829 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- 6 décembre [1829] : de MDV à Léon Boitel
- 9 décembre 1829 : de MDV à Caroline Branchu (Autographe)
- 11 décembre 1829 : de MDV à Hippolyte-Romain Duthillœul
- [1829] [mai 1827 ?] : de MDV à Jean-Baptiste Gergerès[↑ retour à la chronologie]

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